Archives par mot-clé : Rambert

Le calendrier de l’Avent 2024

Vous connaissez le principe, une nouvelle case à ouvrir chaque jour … jusqu’au 24 !

1

Adoremus (Louis Grolet)

2

Tchunga Ya ! – Dogora (Etienne Perruchon)

3

Viniashto mi – Dogora (Etienne Perruchon)

4

Soutrinka – Dogora (Etienne Perruchon)

5

Gloria – Les 4 saisons (Antonio Vivaldi)


6

Mizerna Cicha (Ryszard Rynkowsk)


7

Agur Maria (Chant sacré basque)


8

Hegoak (Joxean Artze – Mikel Laboa) – Ode basque à la liberté

Il y a tout juste 35 ans !

C’était en effet, il y a 35 ans exactement …
La Chorale de Saint Just Saint Rambert n’avait que vingt ans !
Elle en a aujourd’hui cinquante qu’elle va fêter avec éclat en novembre lors de trois concerts dont il serait prudent que vous reteniez vos places dès à présent tant la demande est forte !

Le dimanche après-midi n’est déjà plus disponible mais il reste encore quelques places pour le vendredi 22 ou le samedi 23 en soirée.

Dépêchez-vous de les saisir sur le site de la Passerelle ou bien auprès d’un choriste de votre entourage.

Ça jazze à l’office

De l’union des esprits et des cœurs peut surgir un égrégore.

Cette communion des âmes et le frisson qui en résulte laissent généralement des traces indélébiles chez ceux qui ont eu la grâce d’en vivre l’expérience.

En l’occurrence il s’agirait d’un égrégore musical mais en quoi serait-il de moindre valeur ?

En tous cas il est en cours de création et devrait se déployer le 29 mars prochain.

En effet, ce soir là, dans la salle « Le Panassa » de la Comète (l’Espace d’exploration artistique de la ville de Saint Etienne) l’ensemble Séneçon et les chœurs de l’Office musical ( Les Amis réunis, Mélocotonne, Terracanto et la Chorale de Saint Just Saint Rambert), tous réunis dans un projet commun, présenteront au public un florilège dont on peut supposer qu’il fera la part belle au jazz et à toutes ses déclinaisons.

Les chefs, Frédéric, Jean-Pierre et Patricia sauront certainement trouver les gestes adéquats pour impulser à plus d’une centaine de choristes l’énergie nécessaire pour que cela swingue et balance très très fort.

En attendant je vous livre ci-dessous deux images représentatives du travail nécessaire à ce que cette soirée soit belle et réussie.

Crédit : Annick Lemitron
Crédit : Annick Lemitron

Les enfants du taulier

Il est vrai que ses fans entretenaient et entretiennent encore de nos jours une relation presque filiale avec leur idole.

Johnny ne laissait personne indifférent, la plupart l’adorait, les autres le vouaient aux gémonies.

Rappelons nous, en 2017, ses funérailles furent nationales, un million de personnes envahirent les Champs-Élysées et les rues de Paris pour voir passer le corbillard précédé et protégé par vingt-quatre motards de la Garde républicaine et suivi par sept cent bikers jusqu’à l’église de la Madeleine où le Chef de l’État accueillit la dépouille sur le parvis.

Quelques extraits de l’éloge présidentiel.

« Un homme qui était beaucoup plus qu’un chanteur, une part de la France, ayant connu les épreuves, les échecs et traversé le temps, les époques, les générations et tout ce qui divise la société. ».

La couverture télévisuelle fut considérable, quinze millions de téléspectateurs, certains aux antipodes, pour suivre en direct pendant cinq heures la retransmission de l’évènement, les grilles de programmation de toutes les chaînes bouleversées pendant une semaine, bref un traitement médiatique sans précédent pour un chanteur français qui a occupé une place incomparable pendant près de six décennies.

Alors pourquoi en reparler aujourd’hui ?

C’est que Johnny revient sur écran géant, avec orchestre symphonique et choristes, pour une tournée nationale passant dans toutes les grandes villes, dont Saint Etienne le 5 avril prochain, et Clermont-Ferrand le 13.

Qui dit choristes dit chorales, et donc celles de Saint Just Saint Rambert et celle des Amis Réunis (Saint Etienne) qui furent retenues l’année dernière par Yvan Cassar pour proposer quelques quarante chanteurs, dix de chaque pupitre, pour assurer l’accompagnement vocal du taulier et de son orchestre symphonique.

Le défi était immense mais grandiose, le travail de répétition fut à la hauteur de l’enjeu.

Vous pourrez en juger ci-dessous.

Alors un dernier point qui, je ne sais, enlèvera du stress ou en ajoutera pour les participants, mais qui, en tous cas, devrait être source de satisfaction.

Si vous allez voir les sites de réservation vous pourrez voir que quatre-vingt-dix pour cent des places sont d’ores et déjà retenues.

Alors faites le calcul …

Zénith de Saint Etienne, capacité de 7200 places dont 5400 assises, Zénith d’Auvergne, 9400 places dont 6600 assises.

La répétition du 16 mars à Saint Just Saint Rambert
Le teaser officiel
Et le concert d’Epernay enregistré le même soir que la répétition ci-dessus !