Cela pourrait être le titre d’une nouvelle littéraire ou bien celui d’un roman d’Agatha Christie …
Si ce n’est pas le cas, il n’en reste pas moins que l’affaire est sérieuse !
De toutes les bouilloires réunies pour accueillir la chorale La Cantamule, toutes ont retrouvées leurs logis et leurs propriétaires sauf celle d’Huguette qui a pris, volontairement ou non, la poudre d’escampette.
Coule t’elle une retraite forcée sur les bords du Rhône ou de la Saône, ou bien alors réside t’elle toujours en Forez mais chez une choriste qui se demande bien d’où elle vient et à qui elle appartient.
Comme l’on ne peut laisser une bouilloire, quelle qu’elle fût, dans l’ignorance de ses origines, coupée de ses racines et plongée dans la mélancolie des temps heureux de sa jeunesse pont-rambertoise, un appel à témoin est lancé.
Que tout choriste, ayant chez lui une bouilloire étrangère dont il ne sait s’il l’a régulièrement acquise ou s’il l’a reçue en héritage, veuille bien s’en ouvrir à Huguette qui saura certainement reconnaître, si c’est le cas, sa bouilloire perdue.
Il faut si peu de chose pour éclairer une journée.
Merci d’avance.
Thierry (à la demande de Corinne)
Suite à cet appel au secours la bouilloire d’Huguette a réintégré ses pénates … Tout est bien qui finit bien …